NOUS SOMMES A LA MERCI DE CONTAMINATIONS VIRALES.
NOS GOUVERNANTS PRENNENT-ILS SUFFISAMMENT DE MESURES PROTECTRICES ?

Comme vous, j’observe l’actualité et les événements qui se produisent en France et à l’étranger. Je cherche à être le plus objectif possible. Cela n’est pas facile, certes, mais je me suis fixé ce but. C’est pourquoi, n’hésitez pas à me faire vos commentaires. J’en tiendrai compte, même si votre point de vue est différent du mien. Je corrigerai mon point de vue, si certains de vos arguments sont convaincants. En tout cas, je suis ouvert à toutes vos observations.

Actuellement, je me suis fait la remarque suivante : le virus Ebola est apparu pour la première fois en 1976, au Soudan et en République du Congo. C’est une maladie qui est apparue de manière sporadique. Cependant, depuis plusieurs mois, cette maladie est devenue hautement contagieuse. Le nombre de personnes contaminées double tous les 30 jours. Les mutations actuelles de ce virus le rendent particulièrement dangereux.

La décision qui vient d’être prise, de contrôler les voyageurs en provenance des zones à risque, aurait dû être prise depuis longtemps, depuis plusieurs mois, voire plusieurs années. Et même actuellement, je suis persuadé que les contrôles ne sont pas à la hauteur de la situation.

Ce qui m’inquiète, c’est la manière dont nos gouvernants agissent face aux problèmes quels qu’ils soient. Ils font de la politique à la petite semaine. Ils n’ont pas de réel cap, de réels projets à moyen et long terme.

Le manque de conscience des autorités a déjà créé des contaminations dans plusieurs pays, aux États-Unis et en Europe.

On a l’impression que, sous prétexte de ne pas alarmer et de ne pas provoquer un vent de panique, les autorités ne prennent pas toutes les mesures les plus simples. Par exemple, faire un contrôle systématique à l’arrivée des avions venant d’Afrique de l’ouest.

Pour le virus Ebola, les services médicaux ont besoin de 30 personnes pour gérer un seul cas. Imaginez qu’il y ait 1000 personnes contaminées d’ici quelques mois, comment comptent-ils gérer tous ces cas ? Les hôpitaux ne suffiront pas. Les gens resteront chez eux. Plus personne ne travaillera. Les enfants n’iront plus à l’école. C’est l’effondrement de notre économie qui risque de se produire. C’est pourquoi, plutôt que faire comme s’il n’y avait pas de danger, l’État français devrait prendre des dispositions bien plus importantes au niveau du contrôle des frontières, et ceci même vis-à-vis de nos voisins de l’Europe, même si cela est en contradiction avec la libre circulation des citoyens européens.

La dépendance de nos gouvernants vis-à-vis de la gouvernance européenne, vis-à-vis de la mondialisation, vis-à-vis des multinationales, vis-à-vis de ceux qui ont les moyens de faire pression, constitue un fléau qui peut mener la France au chaos, et engendrer une violence encore plus importante ainsi que de nombreux troubles sociaux et communautaires.

Pour apporter une meilleure qualité de vie à tous, il existe des solutions simples et non coûteuses. Pour mieux comprendre pourquoi, je vous invite à lire à ce sujet le livre  « Pour un monde où il fera bon vivre »